COURS IFSI

http://violette.gueganno.free.fr/

05 Les troubles de la conduite alimentaire (UE2.06 S2 - Processus psychopathologiques)

IV – Les troubles des conduites alimentaires

 

 

 

 

 

1.     L’anorexie

 



 

 

 

 

 

 

 

 

2.     La boulimie

 

 

 

 

 

 

3.     L’obésité

 

 

 

 

4.     Le mérycisme

 

5.     L’alcoolisme

 

 

 

o    Prévalence de l’oralité, perte objectale, l’identité identificatoire, alternance de dépendance et d’agressivité, deux narcissismes, recherche d’un autre identique, difficulté à supporter la relation objectale.

 

 

 

 

 

6.     La toxicomanie

 

 

 

 

 

 

·         Sujet fréquemment au chômage ou à la recherche d’un emploi, pas d’emploi stable, absence de formation professionnelle, sujet qui ont arrêté précocement leurs études, personnes sans domicile fixe, dans l’absence de revenus fixes, personnes qui travaillent au noir, dans le trafic de drogue, dans la prostitution, dans le mendicité, personne ayant divers antécédents judiciaires. La toxicomanie résulte de l’interaction entre le contexte sociale et une fragilité propre à l’adolescence. Dépendance vitale par rapport à l’environnement, dépendance objectale, il cherche à combler la frustration, forme d’automédication. Dans la perte du contrôle avec lui-même, la drogue vient signifier une inconduite, et lui permet de manipuler ses propres états de consciences, quel que soit la dangerosité du produit utilisé. Au travers de la drogue, il va édicter tous les chemins de la conflictualité. Difficultés relationnelles, à s’engager, à établir des relations, comportements superficiels de séduction, instables et ayant des comportements impulsifs. Tout cela traduit un vide intérieur, une absence d’estime de soi qui pousse ces personnes à se rassurer en utilisant le produit. Cette conduite est souvent dissimulée derrière une bonne sociabilité, ces personnalités font comme si tout allait bien. Contrôle sur soi. La personne ne va pas construire un symptôme, un délire, mais elle va agir le conflit à travers son comportement. Le toxicomane est dépressif, il considère se produit comme de l’automédication, chez lui ce n’est pas la tristesse qui va dominer mais l’impuissance. Pathologie de l’insuffisance, leur demande profonde est d’exister.